Les Drakkars de Caen mettent Épinal en PLS et frôlent le Graal !

Drakkars de Caen
Drakkars de Caen

À la patinoire Caen la Mer, ça patinait sec ce mercredi 23 avril !

Pour la première fois en 15 ans, un match de finale de Division 1 faisait vibrer les murs… et les tympans. Les Drakkars affrontaient les Wildcats d’Épinal, et spoiler : y’avait plus de rebondissements que dans un épisode de Game of Thrones (saison 6, pas la 8).
Le match ? Un vrai ascenseur émotionnel ! D’abord ça sentait bon la baston de puck classique, puis Épinal ouvre le score. Petite douche froide pour Caen. Sauf que les Drakkars n’étaient pas venus pour jouer aux cartes. Ils égalisent en supériorité numérique (Gabriel Lehmann, MVP du barbecue de l’enfer), avant que le match ne devienne un mix entre un match de hockey et une réunion de catch à la WWE.
Puis vient le moment drama : un joueur de trop chez Épinal ? Peut-être, peut-être pas. Les arbitres, eux, ont visiblement laissé leurs lunettes dans le vestiaire.
Caen râle, Épinal contre-attaque et boum : 2-1 pour les Vosgiens juste avant la pause. Merci l’arbitrage maison… mais chez les autres.
Dernier tiers-temps : ambiance Mission Impossible.

Les Drakkars bombardent le but adverse, mais Michal Chmel joue les murs de Berlin. Heureusement, à la 59e minute, combo magique : supériorité numérique + gardien remplacé par un joueur de champ + niveau de stress à 200 %.
Résultat ?
Égalisation au buzzer. Hollywood n’aurait pas osé.
Et en prolongation, Evgenii Nikiforov dit « c’est bon, je m’en charge » et plante le but libérateur. Score final : 3-2 pour Caen.
Les Drakkars ne sont plus qu’à un match du titre. S’ils gagnent ce jeudi, c’est cidre et crêpes à volonté à la patinoire.
Sinon, on remballe les glaçons direction Épinal pour une finale façon sudation extrême.